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La vision politique de Ahmadou Diop, le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal. Par Ndiawar Diop

Comme le savez d’ailleurs, Ahmadou Diop est chroniqueur hebdomadaire de la Radio Sunuker FM Emission «Xew Xewi Rewmi», écrivain, analyste politique sénégalais. Non seulement, il a une superbe plume très incisive, une qualité remarquable par le verbe percutant , incontestable, mais son approche rationnelle sur la chose publique, fait de lui une valeur sûre, reconnue qu’il convient de préserver.

Ses chroniques hebdomadaires et ses articles admirables de haut niveau ne laissent pas indifférent les auditeurs de notre Radio Sunuker FM. Par son assiduité, il présente sur Radio Sunuker FM l’Emission « Xew Xewi Rewmi » tous les mardis à partir de 19 heures GMT avec Ahmadou Diop en direct depuis Los Angeles.

C’est donc à juste titre que je prends ma plume, aujourd’hui, pour tenter de décrypter la vision politique de cette sentinelle au patriotisme par son action quotidienne. C’est pourquoi, j’écris, maintenant, sur ce patriote, nationaliste, dont les chroniques et les revues qu’il présente sur Radio Sunuker FM l’Emission « Xew Xewi Rewmi » tous les mardis à partir de 19 heures GMT avec Ahmadou Diop en direct depuis Los Angeles et sa participation sur «L’Info Autrement», sont plus que salutaires.

Par son franc-parler, sa lucidité, voici donc, son analyse, sans complaisance, sur l’échiquier politique et sa vision politique sur la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW qu’il dirige :

D’une part, face au marasme social, endémique du chômage chronique, galopant, de surcroit, la répression touts azimuts des restrictions de la liberté d’expression de la part de la soldatesque chevaleresque du pouvoir totalitaire, la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- » XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW״, se dresse debout et fière de l’être s’inscrit en porte à faux contre ce qu’elle appelle la démonstration de la force publique exercée sur les citoyens pour museler la démocratie.

D’autre part, la dépendance servile, politico-financière, économique de l’actuel pouvoir vis-à-vis de l’extérieur, nous donne la mesure des incapables qui n’ont point de méthode de travail.

D’abord, la restauration d’un état de droit, civilisé est primordial. L’éthique et l’équité seront de rigueur pour servir de socle fondamental à l’échelle de nos valeurs essentielles et de notre civilisation. La devise de la république : un peuple, un but, une foi. Les citoyens naissent libres et égaux devant la loi en droit comme en devoir.

Ensuite, en tant patriotique, membre actif de la conscience patriotique pour le changement au Sénégal -״ XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW״ , il est impératif qu’on puisse appliquer systématiquement, sans conditions, les conclusions des assises nationales, écrites par des experts sénégalais de haut niveau est une obligation, si l’on veut réguler la prééminence du président de la république.

Voilà une condition sine qua non d’une bonne gouvernance de demain, made PSE-plan Sénégal émergent.

Ce n’est pas Macky, « le bon élève de la francophonie », toujours sur les plis de la françafrique, qui le fera. Nous avons déjà entendu son discours peu patriotique, concernant la Commission nationale, chargée de la réforme des institutions (Cnri). Il a déjà fait preuve de ce qu’il sait faire de plus répugnant, puisqu’il est suffisant, nombriliste, hargneux et réfractaire à la démocratie.

A cet effet, la Conscience patriotique pour le changement au Sénégal, propose une nouvelle démarche patriotique, nationaliste, civique à l’échelle nationale sénégalaise pour neutraliser l’influence extérieure colonialiste et démanteler les réseaux mafieux et ses ramifications en toile d’araignées.

Face à la tyrannie du référentiel des médiocres, la défense et la résistance des intérêts d’un peuple sont consubstantielles au degré de sa conscience. A ce prisme là, le patriotisme national en action doit servir de levier pour le triomphe des idéaux de la démocratie.

Pour cela, nous devons peser de toutes nos forces et inverser la courbe pour que nous soyons libres de notre propre destin et redresser notre chère nation pour la reconstruire économiquement, moralement, politiquement, militairement, à l’instar des pays hautement développés.

La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal-״ XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW״, s’oppose énergiquement à la gestion népotique et gabégique du Sénégal par un parti politique, une coalition de partis ou une famille.

Ce qui est et immoral, abject, c’est qu’une certaine presse de servitude, tenue en laisse, encapsulée, couverte d’opprobre, réduite en matelas brille par sa culpabilité déconcertante, alors qu’hier, sous d’autres cieux, elle sortait dans ses gonds à la moindre incartade dans un excès de zèle débordant, envoyait aux enfers, le régime présumé dictateur et ses thuriféraires. Aujourd’hui, elle semble accepter bassement ce qu’elle combattait naguère.

La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- -«XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW», est à la fois l’ossature, la colonne vertébrale et la tète de pont des patriotes, chargée de la légitime défense démocratique, se veut un véritable contre-pouvoir libre indépendant, souverain, pour la restauration d’un état de droit. Sans la liberté, on ne peut rien construire de solide.

De mon point de vue politique , mon analyse laisse apparaître qu’après 55 ans d’indépendance purement formelle, tout semble changer, mais rien ne change; si ce n’est le pire, pour retourner arrière et puisque nonobstant les discours creux, verbeux, pompeux des uns et des autres, car les actions contrastent parfaitement avec la réalité sur le terrain du crime. En vérité, rien ne tient.

L’écran de fumée symbolisé par la perfusion des officines financières internationales sous forme de prêts avec des taux d’intérêts exorbitants, constituent un véritable obstacle majeur pour le développement du Sénégal. La politique de main basse sur toute l’économie sénégalaise totalement extravertie par l’ancien maître, se taille allégrement les meilleures parts de marchés, au détriment des entreprises nationales fermant les unes après les autres.

« La patrie avant le parti » n’est en réalité qu’un embrouillamini mystificateur.

Autrement dit, le changement dans la continuité sévit de plus belle.

De 60 en 2000, Abdoulaye Wade, le challenger de Abdou Diouf, le pape du Sopi, le principal chef d’opposition, le redoutable téméraire, l’éternel opposant de 26 ans à couteaux tirés renvoya le 19 mars, sans coup férir, sur les cordes le mammouth, le parti socialiste, usé après quarante ans, qui régna en maître absolu, est balayé, laminé par les urnes plus que parlantes, suite aux plans structurels étouffants de la banque mondiale et du FMI. Un véritable plébiscite pour le pds et son mentor.

Le Sénégal, autoproclamé la locomotive de la transparente, venait de prouver à la face du monde sa maturité politique par son caractère politique démocratique légendaire des urnes sans appel. Le sempiternel parti socialiste condescendant, tomba dans les décombres comme un château de cartes.

La majorité des sénégalais, à tort ou à raison, prirent Me Abdoulaye Wade comme le messie du pays de la téranga. L’espoir revigora le moral jusque-là en berne des sénégalais qui y crurent dur comme fer. Le Sénégal venait, alors d’opérer sa première alternance depuis l’indépendance de parodie. S’il est facile d’élire un président de la république, contrôler le régime présidentiel, le tout-puissant, c’en est autre. Et les sénégalais l’apprirent à leurs dépens.

Alors, en dehors de quelques infrastructures observées ici où là avec des réformes majeures, certes, salutaires, notamment la loi fondamentales de la liberté d’expression, il est certain que la première alternance n’a pas répondu aux attentes des sénégalais. Après 12 ans donc de gouvernance d’alternance libérale, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts avec les dégâts que l’on sait.

Rebelote, une deuxième alternance vint détrôner la première le 25 mars 2012. Cette fois-ci, le maître est éliminé, mais l’élève- chauffard reprend donc le volant. Mais le mal va toujours en pis. Le moteur a coulé bielle avant d’arriver à destination. Normal. Tout se tient. En lieu et place de la vraie rupture, l’actuel pouvoir abuse de la gestion népotique et gabégique du Sénégal, lequel est en totale jointure avec des chefs de partis, convertis en cartels mafieux, tous coupables, jouent nécessairement les vacataires.

L’éternel recommencement demeure toujours sur le ciel obscurci sénégalais, comme si les politiques qui se sont succédé de 60 à aujourd’hui, n’ont tiré aucune leçon du passé. L’homme de la rupture des mots est arrivé au pouvoir à cause de ses milliards sortis de terre on ne sait où et comment, se défausse étrangement sur ses promesses électorales, laissées aux vestiaires, semble se focaliser exclusivement sur la traque des biens mal acquis, pour se donner une virginité imaginaire. Les règlements de compte sous le soubassement judiciaire, semblent être l’unique contradiction pour les nouveaux maîtres de la démocratie boiteuse.

Un village entier digne d’un capharnaüm, constitué exclusivement d’un corporatisme ethnocentrique, s’approprie de tout l’appareil d’état avec des postes de haute pointure, taillés sur mesure, sans compter le même clan de soi-disant dg au service public, portent mécaniquement les mêmes substantifs particuliers . Sous l’ère Macky, tout est permis. On peut cumuler le poste de ministre, député, conseiller ou chef d’entreprise, sans être inquiété. C’est ça la rupture chez « les Sall-Faye-Timbo-Gassama et Cie ».

Le Sénégal des parodies électorales de la dernière présidentielle de 2012, n’a fait que changer la pièce du même moteur, qui tourne en plein régime. Il est certain que la même mécanique coulera bielle, tôt ou tard. C’est exactement comme un individu qui acheté son permis de conduite, converti en chauffard, est arrêté par les gendarmes, pour avoir roulé à contre sens. C’est bien le cas d’espèce de l’actuel président de la république du Sénégal.

Appliquons donc la même métaphore et on verra textuellement que cela correspond au climat délétère. Les entreprises des lobbies extérieurs se partagent exclusivement le gâteau au détriment des nôtres.

Assez de tartufferie et des histoires carambouilleuses à dormir debout ! L’hâblerie en spectacle ne doit plus servir de levier d’un pouvoir qui n’est jamais ce qu’il prétend être. Rien que du vent, car les annonces ne suivent pas encore les actions sur le terrain. L’homme des galéjades qu’on a élu le 25 mars 2012 contre son maître ne l’a été qu’à défaut et par dépit, il promet plus qu’il n’en fait en réalité. Les sénégalais sont déçus. Le présumé messie est pris la main dans le sac au grand jour.

Le prétendu spécimen de la rupture offre 250 4X4 « à ses doungourous » parlementaires très boulimiques des sinécures de la république. Cerise sur le gâteau, 10 millions à chacun de ses ministres clientélistes.

C’est pourquoi, dans son rôle d’avant –garde de premier plan, la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal-  » XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW  » a le devoir moral de prendre la défense des sénégalais de l’intérieur comme de l’extérieur, quelque soit le prix à payer.

Le président aime voyager sur les quatre coins de la planète, dépense sans compter, jouit du pouvoir et loge dans des hôtels les plus luxueux avec sa cour. Il s’en fout. C’est le contribuable qui passe à la caisse. L’ère Macky est bien pire que celle de la wadésie débridée.

Mais a-t-on vu en Afrique francophone, pardon le Sénégal, plus francophile que wolofophile, le moindre centime des prévarications à répétitions, reversé au contribuable lassé et laissé pour compte depuis les indépendances ?

Ce serait d’ailleurs étrange pour des raisons évidentes ! Ceux qui y croient dur comme fer, sont, soit naïfs ou aveugles, muets ou sourds tout simplement.

Sur le plan politique, la situation n’est guère meilleure. Et le locataire provisoire, niché derrière les grilles « d’un palais marron », semble avoir la mémoire courte pour son manque de courtoisie peu reluisante. Le tout répressif sévit et sert de contradiction de contradiction politique comme étant l’unique solution.

La majorité des sénégalais savent dans leur for intérieur que ce pays vit la crise politique la grave de son histoire après celle de 62. La croissance démocratique n’a pas tenu les promesses escomptées depuis le regrettable soir du 25 mars 2012. La misère et le chômage crescendo atteignent des proportions intenables, aggravées par un climat politique délétère sans précédent.

Les coupures intempestives du courant électrique à longueur de journées érodent le moral des ménages déjà en berne depuis belle lurette, qui ne savent plus à quel saint se vouer. Christine Lagarde, directrice générale du FMI à Dakar, a accordé un satisfecit peu convaincant. Les sénégalais déchanteront. Le câble de la françafrique et des officines financières internationales, se plie au diktat, érigé en règle. Les ajustements structurels apparemment oubliés, reprennent leur droit.

Le sucre, l’eau, l’électricité, le lait, le riz et d’autres denrées se renforceront dans un rythme effréné, qu’il ne l’était sous d’autres cieux. Une ardoise très salée en perspective pour les foyers déjà fragilisés par le taux de croissance totalement nul, alors que l’on nous parlait de 4,5 % bidouillé, pour escroquer les sénégalais présumés crédules.

Lors de sa visité à Dakar en octobre 2012, le président français, François Hollande ou plus exactement « la hollandie » du changement en action habile, déclarait: « les officines obscures ont trouvé portes closes ».

Qu’en est-il réellement ?

Les discours sont tempérés, mais la visibilité sur le terrain est bien pire qu’avant. Pour ne rien arranger, le même François hollande devant le forum franco africain et en présence des chefs d’état africain, en rajoutait une couche: « l’Afrique, c’est notre avenir ».

Un discours obscur-clair, crypté savamment. Et pour cause. Mais en langage clair, l’Afrique des élites de pacotille se veut l’éternelle vache à lait outre atlantique. Une raison de plus pour que nous soyons debout contre le colonialisme tempérant. Rien n’a changé et tout continue.

Le crédo de la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW, c’est unir, rassembler autant de patriotiques autour d’un idéal commun.

Pour cela, nous comptons sur la détermination, le patriotisme, le civisme, l’intelligence, la ténacité et la démocratie participative, la volonté politique de chaque sénégalais pour hisser notre beau pays que nous aimons tant, pour qu’il soit le phare de la démocratie et le plein développement économique, politique, militaire.

Mon combat légitime, c’est bâtir un pays dynamique avec des principes démocratiques et des institutions fortes, inviolables, respectées par des patriotes imbus de la fibre d’honneur, le tout dans une gouvernance irréprochable et un état de droit dans lequel le président de la république ne devient plus le personnage central, décide de tout, en lieu et place des professionnels en la matière.

Notre tâche primordiale, c’est créer les conditions obligatoires d’une véritable gouvernance, économique, saine, transparente, attentive aux seuls intérêts nationaux, légitimes. Pour toutes ces raisons, il faut de véritables sentinelles, impartiales, charismatiques à la tète de l’état sénégalais. Cela étant, cultiver le patriotisme, la démocratie, justice sociale, l’éthique, l’équité, l’unité nationale, la sécurité, sans les lesquels rien n’est possible.

De 60 à nos jours, de l’UA à la CEDEAO, tous ces organismes factices, africains, sont financés totalement à plus de 80% par les mêmes puissances occidentales. Les politiques générales des gouvernements africains s’inscrivent toutes parfaitement dans des logiques dynamiques de dépendance systématique vis-à-vis de l’extérieur colonialistes. Ce sont des éternels assistés.

Le destin de l’Afrique dépend d’elle-même sur des bases voulues. Le développement de la haute technologie, à l’instar des pays émergents tels le brésil, le Pakistan, la Chine, reste la seule solution qui vaille, pour assurer la sécurité des frontières des Etats africains et la libre circulation des biens et des personnes.

Mais faut-il que nos dirigeants aient nécessairement le courage politique ?

Voilà à quoi cela nous mène !

Quoique l’on puisse dire, les élites africaines sont arrimées à « la normalitude bienveillante », pour bien se faire voir, ailleurs, et pour être reçus avec tous les honneurs, plutôt de travailler dans le sens du progrès, c’est-à-dire la mise sur pied d’industries lourdes technologiques, à l’instar des grandes autres nations développées.

Elles ont failli à leur mission et n’ont tiré aucune leçon de l’histoire et s’accordent par leur servilité à n’être que des nègres de service à chaque fois qu’on a besoin d’eux et à s’enrichir comme des gloutons insatiables et à emprunter pitoyablement des milliers de mds avec des taux d’intérêts exorbitants à la banque mondiale et au FMI, que les contribuables payeront tôt ou tard. Les gouvernements passent, mais les hommes et les états demeurent. Des richesses bradées au franc symbolique.

Pendant que la chine, le brésil, la Corée du nord, le Pakistan, l’inde etc., marchent irréversiblement vers le plein développement industriel. Si 55 ans après les indépendances, l’Afrique ne dispose pas de droit de véto aux nations unies, cela est substantiellement conforme à son appauvrissement total et la mendicité à l’échelle internationale à laquelle elle s’adonne sans discontinuer. Les seules responsables de ce malaise insoutenable sont indiscutablement imputables à l’inertie de nos élites qui sont comptables de ce retard indigne.

Je le rappelle : l’éloquence éternelle du professeur Cheikh Anta Diop, le plus considérable de tous les temps. L’invulnérabilité du continent africain et la question malienne prouvent éloquemment les qualités remarquables d’un visionnaire que fut ce génie hors pair, ce prodigieux fils d’Afrique, dont les vérités scientifiques sont plus qu’actuelles.

Depuis les parodies d’indépendances, l’Afrique noire au sud du Sahara, très vulnérable, offre le terrain de prédilection favorable de groupuscules armés, terroristes, résulte exclusivement de l’incapacité notoire des dirigeants africains à sécuriser les populations par des moyens aériens, terrestres, très sophistiqués, capables de surveiller ces bandes armées à l’échelle continentale.

La sécurité de l’Afrique dépend exclusivement de la volonté politique et non de l’extérieur. La main qui donne, en reçoit trois plus que le montant prêté.

Venez fraterniser à la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW. Changeons donc le Sénégal qui gagne avec la CPC. Nous pouvons nous changer. Nous avons toutes les ressources humaines.

La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW, reste le roc impassible, l’étendard, porte drapeau, la convergence de ceux qui n’ont point de voix pour changer radicalement notre patrie dans le sens des pays émergents.

La conscience patriotique pour le changement au Sénégal- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW demeure l’éternelle cheville ouvrière, le tempo, le prêcheur de la bonne parole, l’ossature, le déclencheur, la colonne vertébrale, la tète de pont des patriotiques nourris de la bonne graine ligués pour la restauration de la légitime défense nationaliste à l’endroit contre l’envers du décor.

C’est la seule force unitaire monothéique, démocratique d’avant-garde, qui se veut un véritable contre-pouvoir libre indépendant, souverain, face à la tyrannie ambiante du pouvoir totalitaire. La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW, dont je suis le coordonnateur, dit non au fondamentalisme de la gestion népotique et gabégique du Sénégal par un parti politique, une coalition de partis politiques ou une famille.

J’appelle donc à la conscience des sénégalais et sénégalaises, qui veulent que notre pays, le Sénégal change radicalement dans le sens du progrès, à nous rejoindre massivement, où qu’ils puissent se trouver sur la planète. Soyez des sympathisants motivés pour la cause légitime de la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal, si nous voulons opérer ensemble une rupture totale ! A cœur vaillant, rien n’est impossible. C’est une question de patriotisme et de courage.

Par Ndiawar Diop Administrateur de Sunuker FM