Sans préjuger de quoi-que-ce soit, une leçon doit être tirée de toutes les affaires d’agressions sexuelles qui défrayent la chronique tous ces temps-ci.
Oui, du fait des difficultés pour apporter des preuves incontestables pour établir la culpabilité d’un prévenu (témoignages), dans la plupart des cas, on ne peut qu’exhorter les femmes à la prudence ; et c’est éviter toute situation propice à un viol en se faisant toujours accompagner.
Il n’est point question de dédouaner les hommes, mais il faut reconnaître ou admettre que lorsqu’une femme accepte une certaine intimité poussée avec un homme, elle est déjà tacitement consentante et responsable dans une certaine mesure de ce qui lui arrive.
En vérité, la limite entre un dérapage (après un flirt) et un viol peut être très mince ; oui, beaucoup de viols ne sont en fait que des ‘’abus de confiance’’.
En plus, on peut toujours mettre en doute les dépositions des présumés victimes. Et pour le moindre doute, les présumés coupables devraient en bénéficier.
Tout cela pour confirmer que l’adultère (fornication) est une voie très néfaste (autodestruction) qu’il faut éviter ; ne pas y approcher, comme le préconise le Coran : (32) Et n’approchez point la fornication (adultère). En vérité, c’est une turpitude et quel mauvais chemin ! (17. Le Voyage Nocturne : 32 – Al-Isrâ’)
Par Ndiawar Diop