Sous le clair obscur de la voix engagée,
Mme Maimouna Ndour Faye, courage incarné,
Journaliste émérite, voix de la vérité,
Victime d’une nuit d’ombre, d’une cruauté.
Après l’émission, une rencontre sinistre,
L’agresseur, sournois, dans l’ombre persiste,
Un poignard tranchant, geste égoïste,
Devant chez elle, la douleur subsiste.
Son émission, équidistante, éclairée,
Analyse profonde, liberté préservée,
De la vérité, elle s’est faite la servante,
Ses mots, des fleurs, dans un monde tourmenté.
Le décompte cruel, l’attente impitoyable,
Révèlent la violence, l’injustice inévitable,
Pourtant, Maimouna, debout, inaltérable,
Symbole de courage, d’une plume insatiable.
Elle perd du sang, mais non pas sa voix,
Aux urgences, luttant contre la nuit sans joie,
Prions pour elle, élan de solidarité,
Que la liberté d’expression triomphe, réitérée.
De tout horizon, cette agression peut surgir,
Mais sa voix équilibrée, ne cesse de fleurir,
Analyses justes, équidistantes à bâtir,
Dans l’ombre, la lionne se prépare à rugir.
Les échos de son émission résonnent,
Parmi les plus suivies, son éclat résonne,
Professionnelle, elle guide, passionnée, elle tonne,
Que l’État protège ces voix, cette personne.
De tout cœur, prompt rétablissement,
À Mme Maimouna Ndour Faye, symbole vaillant,
Que la voix retrouve son vol conquérant,
Et que la paix habite son être flamboyant.