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Quand le Pouvoir Dévoile la Vérité : La Fin de la Victimisation Politique au Sénégal. Par Ndiawar Diop

Quand le Pouvoir Dévoile la Vérité : La Fin de la Victimisation Politique au Sénégal. Par Ndiawar Diop

Leçon de Pouvoir : Quand Sonko, Diomaye, la classe politique et les Sénégalais découvrent la Vraie Justice Sénégalaise !

Le gouvernement du Sénégal, autrefois dans l’opposition, dénonçait avec force les convocations judiciaires de ses membres, les présentant comme des manœuvres politiques orchestrées par le régime de Macky Sall. Ousmane Sonko, aujourd’hui Premier Ministre, et Bassirou Diomaye Faye, Président de la République, étaient en première ligne, percevant ces actions comme un harcèlement ciblé. Cependant, maintenant qu’ils sont au pouvoir, il est clair que les mêmes institutions, brigades et la Division des Investigations Criminelles (DIC) continuent de convoquer ceux qui, à l’instar de Sonko autrefois, enfreignent la loi avec des discours irresponsables.

L’ironie de la situation est frappante : hier, le Pastef dénonçait la convocation de Sonko comme une machination politique ; aujourd’hui, il est évident que ces convocations ne visaient pas spécifiquement leur parti. Les récents appels à la DIC de personnalités telles que Bah, Diakhaté, Suzanne Camara, Cheikh Yérim Seck, et Bougane Gueye Dany montrent que la justice sénégalaise agit en toute indépendance, quel que soit le pouvoir en place. Ces convocations confirment que, sous Macky Sall ou Diomaye Faye, les règles restent les mêmes pour tous.

Cela démontre que le système judiciaire sénégalais n’est pas manipulable (à priori) par ceux qui détiennent le pouvoir. Sous Macky Sall, beaucoup pensaient que ces actions visaient à réduire au silence l’opposition ; aujourd’hui, sous Diomaye Faye, il apparaît clairement que ces institutions œuvrent pour maintenir l’ordre et la stabilité, indépendamment des jeux politiques. Ni Sonko ni Faye ne peuvent être accusés de manipuler ces convocations, prouvant ainsi que notre pays dispose d’institutions robustes, au-dessus des gouvernements successifs.

Les militants et sympathisants du Pastef, tout comme leurs leaders, doivent désormais comprendre que les règles du jeu ne changent pas avec la prise de pouvoir. Les attitudes de défiance envers les institutions judiciaires, alimentées par les appels à la résistance et au « Gatsa Gatsa » sous l’ancien régime, ont gravement menacé la stabilité du pays. Ceux qui se disaient jadis victimes d’un système injuste découvrent aujourd’hui qu’ils sont tout autant soumis aux lois que n’importe quel autre citoyen.

Il est grand temps de remettre en question cette stratégie de victimisation qui a permis à certains politiciens de gravir les échelons du pouvoir. Les récents événements montrent que tout citoyen, qu’il soit journaliste, homme politique ou simple militant, doit rendre des comptes pour ses actes et propos devant la justice. Nous ne pouvons plus accepter que des discours belliqueux et divisant la société restent impunis. Qu’on soit au pouvoir ou dans l’opposition, les deux poids deux mesures ne sont plus tolérables.

Ousmane Sonko, malgré tout le respect qui lui est dû, a tort d’avoir refusé de répondre à la justice pour ses propos et actions passés. Les institutions qui aujourd’hui encadrent l’administration de Bassirou Diomaye Faye sont les mêmes que celles sous Macky Sall : même police, même gendarmerie, même justice. Le changement de leadership n’a pas altéré le rôle de ces institutions, qui continuent de garantir l’ordre public et la justice au Sénégal.

Ces convocations récentes montrent clairement qu’aucun citoyen, quel que soit son statut ou sa position, ne peut échapper aux lois du Sénégal. Les politiques doivent comprendre que leur responsabilité première est de contribuer à la paix et à la stabilité, et non de se réfugier dans la victimisation pour éviter de rendre des comptes.

Nous devons réhabiliter notre pays et dire la vérité à tous les militants et sympathisants : le Sénégal ne doit plus jamais brûler à cause de rivalités politiques ou de querelles personnelles entre leaders. En tant que petit pays, nous aspirons à un développement durable, fondé sur la stabilité. Cette stabilité exige que nos leaders et citoyens assument leurs responsabilités.

 

Les opposants doivent accepter la pleine responsabilité de leurs propos et comprendre que la stabilité du pays dépend de tous. Nous ne devons plus tolérer les appels à la violence qui ont autrefois divisé notre peuple. Nos forces de défense, de sécurité et nos institutions judiciaires doivent rester apolitiques et servir exclusivement les intérêts de la nation, sans ingérence politicienne.

Aujourd’hui, nous faisons face à une réalité incontestable : la justice est égale pour tous, et personne, pas même Ousmane Sonko ou Bassirou Diomaye Faye, n’est au-dessus des lois. Si le Sénégal aspire à un avenir prospère et paisible, il est essentiel que nos dirigeants actuels et futurs agissent avec responsabilité, transparence et intégrité.

Vive un Sénégal libre de toute influence politicienne, et résolument tourné vers un avenir de paix et de prospérité.

Par Ndiawar Diop
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