Si le nouveau code de la presse est voté, tout journaliste devra impérativement sortir d’une école de journalisme ou avoir la licence dans un domaine déterminé, avant de passer par un comité de validation. Egalement, pour être Directeur de publication, il faut avoir une expérience de 10 ans et 7 ans pour le poste de Rédacteur en chef.
Le nouveau code de la presse va changer la définition du journaliste consacrée par la loi de 1996 qui faisait du journaliste ’’toute personne puisant l’essentiel de ses revenus dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information’’.
Si le code est voté par le Parlement et promulgué par le Président de la République, sera journaliste, à partir de ce moment, ’’toute personne diplômée d’une école de journalisme reconnue par l’Etat et dont l’activité principale régulière et rétribuée consiste en la collecte, au traitement et à la diffusion de l’information’’.
Les personnes titulaires de la licence pourraient être considérées comme des journalistes s’ils font deux années de pratique professionnelle validées par un comité.
Aussi, le projet du nouveau code de la presse dispose que pour être Directeur de publication, il faut être journaliste et avoir une expérience professionnelle de 10 ans minimum. Pour prétendre être Rédacteur en chef, il faut capitaliser 7 ans d’expérience.
Lui, N’deye Maty, qui a pendant plusieurs années sponsorisé les sites internet et presse en ligne comme (Il est midi de Ndigou Wack sall) ou autres radios et maisons de presse.
Aujourd’hui son seul soucis à lui, Ndeye Maty Sall, c’est de controller la presse en ligne qui est certes gangrenée mais pas plus orduriers que les journaux étatiques autour du président lui même.
Malheureusement nous savons que nous sommes très mal renseignés sur les journaux mais qui sont les commanditaires?
Qui est derrière ces articles qui détruisent les familles d’honnêtes citoyens ?
Pour résoudre les problèmes dans la presse, il faut être impartial et mettre en place des lois impersonnelles; et non des positions parcellaires.
L’application des conclusions des assises nationales du Sénégal règlerait la majeure partie des problèmes et derives dans le pays.
Pourquoi Ndeye Maty tarde t-il (elle) à les appliquer ?
Est ce parce qu’elles contrôleraient les actions liées au trop de pouvoir entre ses mains ?
Par Ndiawar Diop